En direct du Salon Bijorhca 2016, la force des joailliers espagnols se fait sentir. L’héritage et l’histoire de l’Espagne sont représentés par le créateur SALVATORE PLATA.
Fondé dans les années 90, cette grande marque a compris que la joaillerie n’était que trop souvent faite d’or et décida de réaliser certaines belles pièces de haute joaillerie, mais avec de l’argent.
Selon le créateur l’argent est un métal noble, blanc, brillant et malléable qui chaque jour prend de la valeur. L’ultime mission pour le directeur général de SALVATORE PLATA est de « rester la principale référence dans le monde de la bijouterie en argent ».
Dans le secteur de la fabrication de l’argent, on peut distinguer trois catégories en se basant sur le prix final de la pièce:
Haute bijouterie : caractérisée par l’élaboration d’articles dont les prix sont supérieurs à 600 Euros. Moyenne bijouterie: pour les pièces dont les prix varient entre 180 Euros et 600 Euros.
Bijouterie commerciale : dont l’objet essentiel est la fabrication de bijoux dont les prix sont inférieurs à 180 Euros.
L’activité de ce bijoutier est c’est ce qui le définit et le distingue des autres sociétés du secteur, comprend les trois catégories, même si sa production et son développement portent essentiellement sur la fabrication de bijoux commerciaux, mais de grande qualité. Cette enseigne a toujours été en contact avec de grands designers et fabricants de bijoux italiens et cette influence italienne a fortement marqué ses collections.
Cela s’est donc porté sur les pièces, lesquelles ont de l’impact en tailles et en formes, des bijoux audacieux et tout en couleurs.
Cette compagnie espagnole mise sur les dernières technologies de bains de couleur pour l’argent, ce qui fait d’elle une pionnière en la matière.
SALVATORE PLATA utilise des pierres et des cristaux, recherchés parmi les plus hautes qualités qui soient, en misant sur les dernières tendances en matière de pierres, de tailles et de couleurs.
Pour de plus amples informations nous vous recommandons de visiter leur site internet, à l’adresse suivante:
Rémi Victorin