Juriste de formation, puis étant au Ministère de la Culture, il change de registre en travaille cher So Yang, puis rachète la marque en 2013.
Il dessine ses propres bijoux. Il s’inspire de son ancien métier, la culture et du pays où il vit, le Vietnam. Il crée des pendentifs représentant la rosace de la Cathédrale de Reims ou les plaques des bouches d’égout du Japon, pays où il a une forte influence.
Il travaille la corne un matériau naturel qui provient du buffle. Pour acquérir ses bijoux, il n’est pas nécessaire de posséder un certificat. Les cornes proviennent d’Afrique et d’Asie.
Dans ses collections il y a 3 couleurs principales : le marron, blond et un effet marbré chaque couleur a sa provenance attribuée.
Il utilise aussi le sabot qui est transparent contrairement à la corne qui est opaque contrairement à la corne qui rend un effet de transparence. Chaque pièce est unique.
La matière est brossée, gravée, polie ce qui permet de la rendre brillante. Pour le créateur son travail est ethnique et fin, ce qui peut être contradictoire car dans la pensée collective les bijoux ethniques sont imposants et colorés.
Au Salon Bijorhca, cette année, il est rare de voir des bijoux s’inspirant des années 70-80, ce qui permet de conquérir une nouvelle génération de client.
Contact :
Pierre Soulies chez Lotta Djossou
11 rue Ferdinand Duval
75004 Paris
06 31 66 68 74
Clémence Brahmy-Marty