En direct du Bijorhca, septembre 2015. Dorjaï vient de l’assemblage de deux mots : un extrait du prénom masculin tibétain «Dorjee»…
Créatrice et fondatrice de la marque, sélectionne avec exigence et rigueur. Cette dénomination poétique teintée des mystères de l’Asie inciterait à attendre une femme représentative d’une coolitude inspirée.
Que nenni ! Virginie est un bout de femme décidée, jaugeant ses interlocuteurs d’un regard incisif. Mais Virginie est complexe : c’est aussi une artiste photographe qui a sillonné toute l’Asie et l’Afrique Centrale. Cette dichotomie lui vient peut être de son signe astrologique : Vierge. Elle est vierge folle quand elle envoie balader son background et opère un virage à 180 degré en créant sa propre entreprise de bijouterie, quand elle va chercher au bout du monde les pierres que la terre mère à mis des milliers d’années à créer, afin de les sertir dans ses bijoux.
Elle est vierge sage quand elle construit une gamme pensée de bagues et bracelets au design pur dont la plaque avant s’emboîte mécaniquement et permet à la fois une interchangeabilité technique et une variété graphique. Ou quand elle sélectionne avec rigueur la qualité des pierres qui vont sertir ses bijoux : la couleur doit être intense mais pas saturée. Pour ce Bijorhca, la gamme en argent massif 925 rhodié se pare de brillants et une gamme en or jaune 18 carats est née. La gamme de prix s’étend de 300 € la bague argent à 4500 € en or. L’inspiration graphique est Art Déco de la première période industrielle et les noms des collections découlent poétiquement de l’inspiration asiatique : Aum, Bambou, Pavés des temples,…
Anne